#: locale=fr ## Action ### URL LinkBehaviour_07990A77_121F_1B18_419D_6316BFDAA018.source = https://www.theatredescelestins.com/ LinkBehaviour_377D2A9D_209C_7F22_41AC_BB04D20166D3.source = https://www.theatredescelestins.com/ ## Habillage ### Bouton Button_1B998D00_16C4_0505_41AD_67CAA4AAEFE0_mobile.label = HISTOIRE Button_1B998D00_16C4_0505_41AD_67CAA4AAEFE0.label = HISTOIRE Button_1B9A4D00_16C4_0505_4193_E0EA69B0CBB0_mobile.label = PLAN Button_1B9A4D00_16C4_0505_4193_E0EA69B0CBB0.label = PLAN Button_1B999D00_16C4_0505_41AB_D0C2E7857448.label = VUES 360° Button_1B999D00_16C4_0505_41AB_D0C2E7857448_mobile.label = VUES 360° Button_221B5648_0C06_E5FD_4198_40C786948FF0.label = lorem ipsum Button_221B5648_0C06_E5FD_4198_40C786948FF0_mobile.label = lorem ipsum ### Image Image_00C5E894_2095_DB23_41B4_74628ED0330D.url = skin/Image_00C5E894_2095_DB23_41B4_74628ED0330D_fr.jpg Image_0B2C4B37_1F28_0A2A_41B2_5BB4CFE2AD4F.url = skin/Image_0B2C4B37_1F28_0A2A_41B2_5BB4CFE2AD4F_fr.jpg Image_0B2C4B37_1F28_0A2A_41B2_5BB4CFE2AD4F_mobile.url = skin/Image_0B2C4B37_1F28_0A2A_41B2_5BB4CFE2AD4F_mobile_fr.jpg Image_0B4187A2_1F38_3A2A_41BD_DBB67A2B757F.url = skin/Image_0B4187A2_1F38_3A2A_41BD_DBB67A2B757F_fr.jpg Image_0B45EAAC_1F38_0A3E_41B3_0F1D464477BE.url = skin/Image_0B45EAAC_1F38_0A3E_41B3_0F1D464477BE_fr.jpg Image_0B45EAAC_1F38_0A3E_41B3_0F1D464477BE_mobile.url = skin/Image_0B45EAAC_1F38_0A3E_41B3_0F1D464477BE_mobile_fr.jpg Image_0B4D7B3F_1F28_0A1A_41BE_6F52DEF2353E.url = skin/Image_0B4D7B3F_1F28_0A1A_41BE_6F52DEF2353E_fr.jpg Image_0B4D7B3F_1F28_0A1A_41BE_6F52DEF2353E_mobile.url = skin/Image_0B4D7B3F_1F28_0A1A_41BE_6F52DEF2353E_mobile_fr.jpg Image_0BEECECA_1F38_0A7A_41B9_33FA080BFDA2.url = skin/Image_0BEECECA_1F38_0A7A_41B9_33FA080BFDA2_fr.jpg Image_0BEECECA_1F38_0A7A_41B9_33FA080BFDA2_mobile.url = skin/Image_0BEECECA_1F38_0A7A_41B9_33FA080BFDA2_mobile_fr.jpg Image_0CCF1B6F_1F28_0A3A_4192_2F5FAB6AE3D6.url = skin/Image_0CCF1B6F_1F28_0A3A_4192_2F5FAB6AE3D6_fr.jpg Image_0CCF1B6F_1F28_0A3A_4192_2F5FAB6AE3D6_mobile.url = skin/Image_0CCF1B6F_1F28_0A3A_4192_2F5FAB6AE3D6_mobile_fr.jpg Image_0CE83CC8_1F28_0E66_4196_4F995B2BBDDC.url = skin/Image_0CE83CC8_1F28_0E66_4196_4F995B2BBDDC_fr.jpg Image_0CE83CC8_1F28_0E66_4196_4F995B2BBDDC_mobile.url = skin/Image_0CE83CC8_1F28_0E66_4196_4F995B2BBDDC_mobile_fr.jpg Image_0CEEE868_1F28_3626_41A8_30C576CD7C22.url = skin/Image_0CEEE868_1F28_3626_41A8_30C576CD7C22_fr.jpg Image_0CEEE868_1F28_3626_41A8_30C576CD7C22_mobile.url = skin/Image_0CEEE868_1F28_3626_41A8_30C576CD7C22_mobile_fr.jpg Image_32B5CAD4_1E1C_37CD_41A4_825995BDC850.url = skin/Image_32B5CAD4_1E1C_37CD_41A4_825995BDC850_fr.jpg Image_32B5CAD4_1E1C_37CD_41A4_825995BDC850_mobile.url = skin/Image_32B5CAD4_1E1C_37CD_41A4_825995BDC850_mobile_fr.jpg Image_DDEFF1D0_CC3A_810E_41E4_4AF9F976C622.url = skin/Image_DDEFF1D0_CC3A_810E_41E4_4AF9F976C622_fr.png Image_DDEFF1D0_CC3A_810E_41E4_4AF9F976C622_mobile.url = skin/Image_DDEFF1D0_CC3A_810E_41E4_4AF9F976C622_mobile_fr.png Image_F6C31236_DA64_113C_41DD_3BB80EEA7B57.url = skin/Image_F6C31236_DA64_113C_41DD_3BB80EEA7B57_fr.jpg Image_F6C31236_DA64_113C_41DD_3BB80EEA7B57_mobile.url = skin/Image_F6C31236_DA64_113C_41DD_3BB80EEA7B57_mobile_fr.jpg Image_FF777FFC_DA7C_6F2C_41E3_C786D95C362A.url = skin/Image_FF777FFC_DA7C_6F2C_41E3_C786D95C362A_fr.jpg Image_FF777FFC_DA7C_6F2C_41E3_C786D95C362A_mobile.url = skin/Image_FF777FFC_DA7C_6F2C_41E3_C786D95C362A_mobile_fr.jpg ### Texte multiligne HTMLText_EAA2EC11_DA9C_10F4_41C8_C98113299055.html =
Ce hall d’entrée, appelé vestibule par l’architecte Gaspard André, comporte une banque centrale (appelée boîte à sels) pour la billetterie du soir et dessert, par quatre montées d’escaliers, les différentes galeries de la grande salle.


Depuis les travaux de restauration, les portes qui permettent le passage entre le péristyle et l’intérieur du bâtiment ont été vitrées afin de donner plus de luminosité à l’atrium.


Le lustre Macchina della luce d’Oro, œuvre de l’artiste milanais Carlo Catellani, apporte une touche contemporaine.


Entre les montées d’escaliers, un médaillon portant la date de 1877 commémore l’année de la première construction du Théâtre par Gaspard André.


Des écussons timbrés du « L » rappellent que le bâtiment appartient à la Ville de Lyon. Sur l’écusson figurent les initiales « RF » pour République Française, initiales que l’on retrouve dans la salle sur le cadre de scène.


Au-dessus des portes, des masques représentent la Comédie ou la Tragédie et l’on note les noms de quelques grands auteurs classiques du théâtre européen : Alfieri, Métastase, Lope de Vega, Calderon, Shakespeare, Sheridan, Goethe et Schiller.


L’atrium est accessible aux personnes à mobilité réduite.
HTMLText_1931CB24_173D_9FD4_419B_256BB00A4CC8.html =


C'est la galerie supérieure (premier balcon), ainsi appelée parce que les femmes s’y montrent « comme des fleurs dans une corbeille ».
HTMLText_F554D5F5_DAE4_133C_41D8_2052F2A9DB29.html =
Construite en 2003, cette nouvelle salle de spectacle se situe à 3,20 m sous le niveau de la rue.


Elle permet de répéter les pièces au sein même du Théâtre et de présenter des mises en scène nécessitant une relation plus intime avec le public.


Accessible aux personnes à mobilité réduite la Célestine peut accueillir jusqu’à 170 spectateurs grâce à son gradin mobile et ses praticables permettant d’adapter la jauge selon les besoins.


Sa réalisation a nécessité des terrassements importants et la mise en œuvre d’un cuvelage étanche pour protéger la salle des infiltrations d’eau de la Saône.


Tout a été conçu pour que des spectacles puissent avoir lieu en même temps dans la grande salle et dans la Célestine.


En plus de la boîte béton et de la boîte imperméable, une boîte isolante acoustique a été installée pour éviter toute gêne phonique.
HTMLText_EEF78ED3_DAA4_1174_41C0_67481E12065D.html =
La cage de scène est le volume composé du plateau, des cintres, du gril et des dessous. À l’origine, elle contenait une machinerie à l’italienne (structures en bois, perches actionnées par des fils de chanvre).


À l’issue des travaux de 2003, c’est à l’intérieur des murs maîtres que le volume de la cage de scène est reconfiguré pour installer une machinerie moderne.


Le plateau.
Il mesure 20 m de large et 13 m de profondeur. Le plancher peut être ouvert grâce à un système de trappes permettant de faire apparaître des éléments de décor, des accessoires ou des comédiens.


Les cintres.
Ils se situent au-dessus de la scène à 20 m de hauteur. Cet espace comprend les passerelles, les herses d’éclairage et toute la machinerie permettant des changements de décor.


Les dessous.
Avant les travaux, ils étaient divisés en trois niveaux, sur 9 m de profondeur. Il ne demeure aujourd’hui qu’un seul dessous, qui sert à dissimuler certaines parties du décor que l’on peut faire apparaître au moyen de trappes.
HTMLText_0B4B0DC1_11C0_6277_41A4_201A5BB3F7AE.html =
Dans ce joyau d’architecture qu’est le Théâtre des Célestins, la grande salle, plusieurs fois rénovée depuis 1881, est le type même de la salle à l’italienne : tout est soigneusement étudié pour « entendre, voir et être vu ». La superposition des galeries, organisées en forme de fer à cheval, répondait très exactement à cette exigence et créait ainsi un espace extrêmement codifié où le public était mis en scène selon des règles de stratification sociale très élaborées : les loges étaient réservées aux aristocrates,
les balcons à la fine fleur de la bourgeoisie et le parterre accueillait le public populaire qui restait debout. Lorsque le parterre se transforme en orchestre avec des places assises, il devient très convoité et son public est relégué au poulailler (ou paradis). Les loges, côté cour et côté jardin, étaient réservées à quelques notables, ainsi vus de tous, tout en étant réellement séparés du reste du public.
À l’arc de scène, souligné par des trophées symbolisant la Tragédie (sceptre, couronne, main de justice), la Comédie ou la Musique (flûte de pan, flambeaux, marotte ou masque de fou), des cartouches encadrent les noms de Racine, Molière et Corneille.


Sur la toile peinte, au-dessus du rideau de scène, un lion est entouré de deux nymphes et de la devise de la Ville de Lyon : « Suis le Lion qui ne mord point sinon quand l’ennemi me poingt ».
La rénovation a cherché à retrouver les volumes et les matériaux d’époque datant de 1881 : c’est le cas dans les couloirs où l’on retrouve les frises sur les murs et les couleurs pastel. Elle a aussi apporté des améliorations en matière de confort : plus d’espace entre les rangs niveau orchestre, fauteuils installés de façon décalée pour assurer une bonne visibilité pour tous. Un système de rafraîchissement de l’air a été mis en place au niveau des bouches d’aération pour tempérer l’atmosphère.


Le changement majeur par rapport au 19e siècle : la jauge est passée de 1100 places à 697 aujourd’hui.
HTMLText_058147E5_1755_F654_41B3_725D6B746CDD.html =


Balcon le plus élevé du théâtre. À l’époque du mélodrame le public s’y bousculait et échangeait souvent avec effusion.
HTMLText_E8357763_DAA4_3F54_41D2_B25CD672770E.html =
Ce lieu est chargé de toute l’émotion et de toute la magie du Théâtre. Rénové en 1989, il a gardé ses couleurs d’origine, le rouge et l’or qui rappellent l’ambiance feutrée de la grande salle.


Ici, comme au foyer du public ou dans l’atrium, on retrouve les masques en stuc, le blason de la Ville et les initiales « RF ».


De grands noms de comédiens du 19e siècle sont inscrits dans des cartouches : Dupré, Genin, Lureau, Lamy, Fournier. On retrouve encore la présence de Molière dans ce foyer, avec un buste du célèbre dramaturge.


Au-dessus du miroir figure une maxime de Boileau « Aimez qui vous conseille et non pas qui vous loue ».


Pendant les répétitions, avant les levers de rideau et pendant les spectacles, les comédiens se retrouvent au foyer des artistes aux côtés des techniciens qui, chacun dans leur domaine, veillent au bon déroulement de la pièce.
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La cage de scène est le volume composé du plateau, des cintres, du gril et des dessous. À l’origine, elle contenait une machinerie à l’italienne (structures en bois, perches actionnées par des fils de chanvre).


À l’issue des travaux de 2003, c’est à l’intérieur des murs maîtres que le volume de la cage de scène est reconfiguré pour installer une machinerie moderne.


Les cintres
Ils se situent au-dessus de la scène à 20 m de hauteur. Cet espace comprend les passerelles, les herses d’éclairage et toute la machinerie permettant des changements de décor.


Le Gril
C'est la partie supérieure des cintres où passent les fils qui soutiennent les perches.
HTMLText_01169762_174C_964C_41A6_7F4BAB858624.html =
Partie inférieure de la salle où les spectateurs sont installés proches de la scène. De nombreuses salles de spectacle ne comportent que cette partie pour accueillir les spectateurs. D’autres théâtres, opéras, ou salles plus grandes, peuvent avoir des corbeilles et des balcons, notamment dans les théâtres que l’on nomme théâtres « à l’italienne », comme les Célestins.
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Ce hall d’entrée, appelé vestibule par l’architecte Gaspard André, comporte une banque centrale (appelée boîte à sels) pour la billetterie du soir et dessert, par quatre montées d’escaliers, les différentes galeries de la grande salle.


Depuis les travaux de restauration, les portes qui permettent le passage entre le péristyle et l’intérieur du bâtiment ont été vitrées afin de donner plus de luminosité à l’atrium.


Le lustre Macchina della luce d’Oro, œuvre de l’artiste milanais Carlo Catellani, apporte une touche contemporaine.


Entre les montées d’escaliers, un médaillon portant la date de 1877 commémore l’année de la première construction du Théâtre par Gaspard André.


Des écussons timbrés du « L » rappellent que le bâtiment appartient à la Ville de Lyon. Sur l’écusson figurent les initiales « RF » pour République Française, initiales que l’on retrouve dans la salle sur le cadre de scène.


Au-dessus des portes, des masques représentent la Comédie ou la Tragédie et l’on note les noms de quelques grands auteurs classiques du théâtre européen : Alfieri, Métastase, Lope de Vega, Calderon, Shakespeare, Sheridan, Goethe et Schiller.


L’atrium est accessible aux personnes à mobilité réduite.
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Ce lieu est chargé de toute l’émotion et de toute la magie du Théâtre. Rénové en 1989, il a gardé ses couleurs d’origine, le rouge et l’or qui rappellent l’ambiance feutrée de la grande salle.


Ici, comme au foyer du public ou dans l’atrium, on retrouve les masques en stuc, le blason de la Ville et les initiales « RF ».


De grands noms de comédiens du 19e siècle sont inscrits dans des cartouches : Dupré, Genin, Lureau, Lamy, Fournier. On retrouve encore la présence de Molière dans ce foyer, avec un buste du célèbre dramaturge.


Au-dessus du miroir figure une maxime de Boileau « Aimez qui vous conseille et non pas qui vous loue ».


Pendant les répétitions, avant les levers de rideau et pendant les spectacles, les comédiens se retrouvent au foyer des artistes aux côtés des techniciens qui, chacun dans leur domaine, veillent au bon déroulement de la pièce.
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Construite en 2003, cette nouvelle salle de spectacle se situe à 3,20 m sous le niveau de la rue.


Elle permet de répéter les pièces au sein même du Théâtre et de présenter des mises en scène nécessitant une relation plus intime avec le public.


Accessible aux personnes à mobilité réduite la Célestine peut accueillir jusqu’à 170 spectateurs grâce à son gradin mobile et ses praticables permettant d’adapter la jauge selon les besoins.


Sa réalisation a nécessité des terrassements importants et la mise en œuvre d’un cuvelage étanche pour protéger la salle des infiltrations d’eau de la Saône.


Tout a été conçu pour que des spectacles puissent avoir lieu en même temps dans la grande salle et dans la Célestine.


En plus de la boîte béton et de la boîte imperméable, une boîte isolante acoustique a été installée pour éviter toute gêne phonique.
HTMLText_0B4B0DC1_11C0_6277_41A4_201A5BB3F7AE_mobile.html =
Dans ce joyau d’architecture qu’est le Théâtre des Célestins, la grande salle, plusieurs fois rénovée depuis 1881, est le type même de la salle à l’italienne : tout est soigneusement étudié pour « entendre, voir et être vu ». La superposition des galeries, organisées en forme de fer à cheval, répondait très exactement à cette exigence et créait ainsi un espace extrêmement codifié où le public était mis en scène selon des règles de stratification sociale très élaborées : les loges étaient réservées aux aristocrates,
les balcons à la fine fleur de la bourgeoisie et le parterre accueillait le public populaire qui restait debout. Lorsque le parterre se transforme en orchestre avec des places assises, il devient très convoité et son public est relégué au poulailler (ou paradis). Les loges, côté cour et côté jardin, étaient réservées à quelques notables, ainsi vus de tous, tout en étant réellement séparés du reste du public.
À l’arc de scène, souligné par des trophées symbolisant la Tragédie (sceptre, couronne, main de justice), la Comédie ou la Musique (flûte de pan, flambeaux, marotte ou masque de fou), des cartouches encadrent les noms de Racine, Molière et Corneille.


Sur la toile peinte, au-dessus du rideau de scène, un lion est entouré de deux nymphes et de la devise de la Ville de Lyon : « Suis le Lion qui ne mord point sinon quand l’ennemi me poingt ».
La rénovation a cherché à retrouver les volumes et les matériaux d’époque datant de 1881 : c’est le cas dans les couloirs où l’on retrouve les frises sur les murs et les couleurs pastel. Elle a aussi apporté des améliorations en matière de confort : plus d’espace entre les rangs niveau orchestre, fauteuils installés de façon décalée pour assurer une bonne visibilité pour tous. Un système de rafraîchissement de l’air a été mis en place au niveau des bouches d’aération pour tempérer l’atmosphère.


Le changement majeur par rapport au 19e siècle : la jauge est passée de 1100 places à 697 aujourd’hui.
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La cage de scène est le volume composé du plateau, des cintres, du gril et des dessous. À l’origine, elle contenait une machinerie à l’italienne (structures en bois, perches actionnées par des fils de chanvre).


À l’issue des travaux de 2003, c’est à l’intérieur des murs maîtres que le volume de la cage de scène est reconfiguré pour installer une machinerie moderne.


Le plateau.
Il mesure 20 m de large et 13 m de profondeur. Le plancher peut être ouvert grâce à un système de trappes permettant de faire apparaître des éléments de décor, des accessoires ou des comédiens.


Les cintres.
Ils se situent au-dessus de la scène à 20 m de hauteur. Cet espace comprend les passerelles, les herses d’éclairage et toute la machinerie permettant des changements de décor.


Les dessous.
Avant les travaux, ils étaient divisés en trois niveaux, sur 9 m de profondeur. Il ne demeure aujourd’hui qu’un seul dessous, qui sert à dissimuler certaines parties du décor que l’on peut faire apparaître au moyen de trappes.
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La cage de scène est le volume composé du plateau, des cintres, du gril et des dessous. À l’origine, elle contenait une machinerie à l’italienne (structures en bois, perches actionnées par des fils de chanvre).


À l’issue des travaux de 2003, c’est à l’intérieur des murs maîtres que le volume de la cage de scène est reconfiguré pour installer une machinerie moderne.


Les cintres
Ils se situent au-dessus de la scène à 20 m de hauteur. Cet espace comprend les passerelles, les herses d’éclairage et toute la machinerie permettant des changements de décor.


Le Gril
C'est la partie supérieure des cintres où passent les fils qui soutiennent les perches.
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C'est la galerie supérieure (premier balcon), ainsi appelée parce que les femmes s’y montrent « comme des fleurs dans une corbeille ».
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Balcon le plus élevé du théâtre. À l’époque du mélodrame le public s’y bousculait et échangeait souvent avec effusion.
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Partie inférieure de la salle où les spectateurs sont installés proches de la scène. De nombreuses salles de spectacle ne comportent que cette partie pour accueillir les spectateurs. D’autres théâtres, opéras, ou salles plus grandes, peuvent avoir des corbeilles et des balcons, notamment dans les théâtres que l’on nomme théâtres « à l’italienne », comme les Célestins.
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AU CœUR DU THÉÂTRE
LA FAÇADE


Au fil du temps, le Théâtre a connu des changements dans la décoration ou les espaces intérieurs, mais la façade est restée identique depuis 1881. Chaque ensemble du monument est souligné par l’emploi de pierres de tonalités différentes. De hautes consoles à tête de lion soutiennent les balcons. Les statues de la Comédie et de la Tragédie sont accompagnées de leurs emblèmes : le flambeau pour la Tragédie et une marotte de fou pour la Comédie. Une frise ornée de boutons indique la limite horizontale entre le parterre et la première galerie. Au niveau de « l’étage noble », la décoration s’enrichit. En retrait, peintes en rouge sombre, s’ouvrent les portes à balcon des premières galeries surmontées des bustes de Hugo, Musset et Scribe, représentant les trois genres : Drame, Comédie et Vaudeville.


Photo de la façade © Christian Ganet
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Une histoire brûlante


Avant d’être ce qu’il est aujourd’hui, l’un des plus beaux théâtres à l’italienne d’Europe fortement inscrit dans le paysage architectural de Lyon, le bâtiment a connu plusieurs vies !


LE COUVENT DES CÉLESTINS


Tout commence au 13e siècle, avec l’installation des Templiers sur le site qui s’étire de la rue du Port du Temple jusqu’à la place Bellecour, en bord de Saône. Ils sont chassés en 1312 après la dissolution de leur Ordre. En 1407, ce sont finalement les moines Célestins qui viennent s’y établir pour fonder l’abbaye Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle. Au cours du 15e siècle, constructions et réfections se succèdent. Le couvent connaîtra trois incendies majeurs (en 1501, 1622 et 1744) qui ravagent tout ou partie du bâtiment. La réforme des ordres monastiques entraîne en 1778 la suppression du couvent. Le clos des Célestins est alors convoité pour être loti. On perce les rues Charles Dullin et Gaspard André : le domaine s’ouvre à la circulation et le monastère disparaît brutalement du paysage urbain.


DE THÉÂTRE EN THÉÂTRE


En 1789, la société privée qui gère le site décide de faire construire une salle de spectacle et sollicite les architectes Morand et Colson. Ce premier théâtre, appelé Théâtre des Variétés, est inauguré en 1792. Plus petit que le théâtre actuel, il est flanqué de part et d’autre de bâtiments d’habitation. En 1833, les propriétaires des Variétés sont en désaccord avec la Ville sur le montant du loyer. L’établissement ferme. La municipalité réagit en construisant une autre salle de spectacle, dite du Gymnase, sur la place Confort (actuelle place des Jacobins) qui accueillera le public jusqu’en 1840. Entre-temps, la Ville rachète le Théâtre des Variétés et l’ouvre à nouveau au public en 1838. Mais en 1871, un incendie le détruit entièrement ! On confie sa reconstruction à l’architecte lyonnais Gaspard André. Conçu comme une salle à l’italienne, le Théâtre des Célestins ouvre ses portes en 1877, mais le sort s’acharne sur le bâtiment qui est à nouveau la proie des flammes... Gaspard André reconstruit le théâtre à l’identique. Il sera inauguré en 1881.


UNE NOUVELLE JEUNESSE


Le Théâtre est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1997. En 2003 débutent d’importants travaux de sécurisation et de modernisation qui nécessitent la fermeture du Théâtre pendant deux ans (une programmation « hors les murs » est toutefois maintenue). L’organisation spatiale du bâtiment est repensée : une nouvelle salle de spectacle, la Célestine, est créée dans les dessous du Théâtre. En 2005, les Célestins ouvrent à nouveau leurs portes. Cette rénovation a permis de retrouver la splendeur originelle du bâtiment de 1881. Un soin particulier a été apporté à la restitution des décors muraux et des mosaïques voulus par Gaspard André.


Rumeurs, rumeurs...


L’incendie de 1880 se déclare dans les loges, dans la nuit du 25 au 26 mai. Les pompiers seront accusés de laxisme car ils auraient été retrouvés ivres dans le foyer des artistes...
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AU CœUR DU THÉÂTRE
LA FAÇADE


Au fil du temps, le Théâtre a connu des changements dans la décoration ou les espaces intérieurs, mais la façade est restée identique depuis 1881. Chaque ensemble du monument est souligné par l’emploi de pierres de tonalités différentes. De hautes consoles à tête de lion soutiennent les balcons. Les statues de la Comédie et de la Tragédie sont accompagnées de leurs emblèmes : le flambeau pour la Tragédie et une marotte de fou pour la Comédie. Une frise ornée de boutons indique la limite horizontale entre le parterre et la première galerie. Au niveau de « l’étage noble », la décoration s’enrichit. En retrait, peintes en rouge sombre, s’ouvrent les portes à balcon des premières galeries surmontées des bustes de Hugo, Musset et Scribe, représentant les trois genres : Drame, Comédie et Vaudeville.


Photo de la façade © Christian Ganet
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Une histoire brûlante


Avant d’être ce qu’il est aujourd’hui, l’un des plus beaux théâtres à l’italienne d’Europe fortement inscrit dans le paysage architectural de Lyon, le bâtiment a connu plusieurs vies !


LE COUVENT DES CÉLESTINS


Tout commence au 13e siècle, avec l’installation des Templiers sur le site qui s’étire de la rue du Port du Temple jusqu’à la place Bellecour, en bord de Saône. Ils sont chassés en 1312 après la dissolution de leur Ordre. En 1407, ce sont finalement les moines Célestins qui viennent s’y établir pour fonder l’abbaye Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle. Au cours du 15e siècle, constructions et réfections se succèdent. Le couvent connaîtra trois incendies majeurs (en 1501, 1622 et 1744) qui ravagent tout ou partie du bâtiment. La réforme des ordres monastiques entraîne en 1778 la suppression du couvent. Le clos des Célestins est alors convoité pour être loti. On perce les rues Charles Dullin et Gaspard André : le domaine s’ouvre à la circulation et le monastère disparaît brutalement du paysage urbain.


DE THÉÂTRE EN THÉÂTRE


En 1789, la société privée qui gère le site décide de faire construire une salle de spectacle et sollicite les architectes Morand et Colson. Ce premier théâtre, appelé Théâtre des Variétés, est inauguré en 1792. Plus petit que le théâtre actuel, il est flanqué de part et d’autre de bâtiments d’habitation. En 1833, les propriétaires des Variétés sont en désaccord avec la Ville sur le montant du loyer. L’établissement ferme. La municipalité réagit en construisant une autre salle de spectacle, dite du Gymnase, sur la place Confort (actuelle place des Jacobins) qui accueillera le public jusqu’en 1840. Entre-temps, la Ville rachète le Théâtre des Variétés et l’ouvre à nouveau au public en 1838. Mais en 1871, un incendie le détruit entièrement ! On confie sa reconstruction à l’architecte lyonnais Gaspard André. Conçu comme une salle à l’italienne, le Théâtre des Célestins ouvre ses portes en 1877, mais le sort s’acharne sur le bâtiment qui est à nouveau la proie des flammes... Gaspard André reconstruit le théâtre à l’identique. Il sera inauguré en 1881.


UNE NOUVELLE JEUNESSE


Le Théâtre est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1997. En 2003 débutent d’importants travaux de sécurisation et de modernisation qui nécessitent la fermeture du Théâtre pendant deux ans (une programmation « hors les murs » est toutefois maintenue). L’organisation spatiale du bâtiment est repensée : une nouvelle salle de spectacle, la Célestine, est créée dans les dessous du Théâtre. En 2005, les Célestins ouvrent à nouveau leurs portes. Cette rénovation a permis de retrouver la splendeur originelle du bâtiment de 1881. Un soin particulier a été apporté à la restitution des décors muraux et des mosaïques voulus par Gaspard André.


Rumeurs, rumeurs...


L’incendie de 1880 se déclare dans les loges, dans la nuit du 25 au 26 mai. Les pompiers seront accusés de laxisme car ils auraient été retrouvés ivres dans le foyer des artistes...
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LE FOYER DES ARTISTES
UN LIEU MAGIQUE
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L'ATRIUM
L'ENTRÉE DU THÊÂTRE
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LA CAGE DE SCÈNE
UN LIEU UNIQUE
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LA CÉLESTINE
LA SALLE CACHÉE
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LA GRANDE SALLE
LA SALLE À L’ITALIENNE
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LE LUSTRE



Conçu par Gaspard André, réalisé par Joanny Domer. Avec sa structure en cuivre et ses 200 ampoules.


Il pèse plus de 2 tonnes ! Son nettoyage a lieu une fois par an et nécessite plusieurs jours.


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LES CINTRES - LE GRIL
UN LIEU INSOLITE
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PLAN DU THÉÂTRE
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CORBEILLE
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ORCHESTRE
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PARADIS
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LES vues 360°:
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PLAN DU THÉÂTRE
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LES vues 360°:
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LE FOYER DES ARTISTES
UN LIEU MAGIQUE
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LA CAGE DE SCÈNE
UN LIEU UNIQUE
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LES CINTRES - LE GRIL
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CORBEILLE
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L'ATRIUM
L'ENTRÉE DU THÊÂTRE
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LA CÉLESTINE
LA SALLE CACHÉE
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LA GRANDE SALLE
LA SALLE À L’ITALIENNE
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LE LUSTRE



Conçu par Gaspard André, réalisé par Joanny Domer. Avec sa structure en cuivre et ses 200 ampoules.


Il pèse plus de 2 tonnes ! Son nettoyage a lieu une fois par an et nécessite plusieurs jours.


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ORCHESTRE
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PARADIS
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Vues 360°
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Visite ### Description tour.description = Visite virtuelle du Théâtre des Célestins ### Titre tour.name = Théâtre des Célestins